mardi 18 décembre 2007

Lyon rate son sacre d'automne


Le Paris SG a replongé dans la zone de relégation (18e) après son revers au Parc des Princes contre Toulouse (2-1), tandis que Lyon, fatigué après Glasgow, a raté l'occasion de devenir champion d'automne en concédant le nul contre Nice (0-0), samedi lors de la 18e journée.


Cette fois, le président Alain Cayzac, livide après cette nouvelle défaite (marquée notamment par une incroyable mésentente entre Camara et Landreau), a dû reconnaître "une crise aiguë" au PSG. La semaine sera chargée, avec une réunion au sommet entre le président, son conseil d'administration et les actionnaires. Qui va être limogé? Qui va démissionner ? Alain Cayzac ? Paul Le Guen ? "Envisager toutes les solutions, ça veut dire toutes", a commenté laconiquement le président du club de la capitale.


Le PSG, qui se déplacera à Saint-Etienne la semaine prochaine pour finir la saison, n'aura donc pas gagné un seul match au Parc des Princes (4 nuls et 6 défaites) lors de cette phase aller! Lyon, qui aurait pu devenir champion d'automne dès samedi, a dû se contenter du nul à Gerland contre Nice (0-0), et devra attendre un éventuel faux-pas de Nancy, qui se déplace à Strasbourg dimanche, ou le choc Nancy-Lyon la semaine prochaine, pour être fixé.


Avec ce nul (le deuxième de la saison à Gerland), Lyon possède 5 points (38) d'avance sur l'ASNL (33). Si Nancy ne gagne pas dimanche, l'OL sera alors champion d'automne. Nice, avec ce 8e match sans défaite, reste à la 7e place.Dans le bas du classement, Lille a fait la bonne opération en cédant sa place de relégable au PSG, à la faveur de son succès à domicile contre Saint-Etienne (3-0). Le LOSC gagne 4 places et grimpe à la 14e position.


Plus bas encore, le choc des mal classés Metz-Sochaux a souri aux Franc-Comtois (1-2), emmenés pour la première fois par Jean-Luc Ruty, intérimaire nommé après le limogeage de Frédéric Hantz cette semaine. Et Sochaux, 19e, n'est plus qu'à 3 points du PSG! A Metz, lanterne rouge, le temps semble compté pour Francis De Taddeo.Au rayon des entraîneurs en position inconfortable, Pierre Dréossi (Rennes) et Jean-Pierre Papin (Lens) ont encore vécu un week-end épouvantable.


Les Bretons (12e) ont été giflés à domicile (1-2) par Caen, qui se hisse à la 6e place. Et l'hémorragie (14 buts encaissés en 6 défaites consécutives en L1) continue pour Rennes alors que la rumeur Guy Lacombe circule en Bretagne.Pour Lens, une première faute de main inhabituelle de Runje a coûté cher aux Sang et Or (16e à un point du PSG), battus finalement 2 à 0 (doublé de Menez) à Monaco. Et l'ASM grappille 4 places (8e).


Auxerre, battu par le Paris SG la semaine passée, a été corrigé (3-0) par Valenciennes (4e) et peut s'inquiéter, à la 17e place, à un point du club parisien. Le Mans monte à la 3e place mais a manqué une belle occasion de compiler les points contre Lorient (0-0). Après Strasbourg-Nancy, la journée se terminera dimanche par Bordeaux-Marseille. L'OM aura-t-il digéré l'humiliation contre Liverpool ?


Source : Le Matin


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Maroc : 17.000 contrats saisonniers pour l'Espagne


«Les producteurs locaux sont satisfaits! Nous pensons porter à environ 10.000 le nombre des recrues pour les prochaines campagnes», s'exclamait, il y a quelques mois, Juan Antonio Millãn Jaldõn, maire de Cartaya, petite bourgade de la province de Huelva, en Andalousie.


La déclaration n'était pas de la poudre aux yeux puisque, aujourd'hui, 12.000 femmes marocaines, à destination de l'Espagne pour un emploi saisonnier, abordent la dernière ligne droite de leurs démarches. Mieux encore, ce contingent sera porté à 17.000 personnes, en faveur d'une demande formulée par la partie espagnole, la semaine dernière, faisant état d'un besoin en main d'œuvre de 5.000 travailleuses (lire interview).


Etalés sur une période allant de trois à six mois, ces jobs sont principalement orientés vers l'agriculture, en l'occurrence la cueillette des fraises, des pommes, des poires, etc., à travers des contrats établis en bonne et due forme, garantissant aux travailleuses les mêmes droits que ceux dont bénéficierait un citoyen de l'Union européenne.


L'initiative porte la griffe «Anapec» à travers son projet-pilote «Appui institutionnel à la circulation des personnes», né en 2005 dans le cadre du programme Meda II, ainsi qu'en vertu de la convention signée avec la municipalité de Cartaya. Dix-sept mille emplois à l'international, ce n'est pas rien, notamment si l'on prend en considération que ce chiffre, en 2003, était de 330, pour passer à 494 l'année suivante.


Sur la période 2001-2007, le nombre des travailleurs marocains ayant quitté le territoire pour un emploi provisoire, en toute légalité, affiche près de 10.000 personnes, dont plus de 5.000 rien que pour l'année 2007. L'Espagne reste le premier pourvoyeur d'emplois, devançant de plusieurs encablures la France, puis l'Italie, dont les rapports avec l'Anapec commencent à se dessiner. Nous parlons bien entendu d'emplois via l'Agence nationale.


«Le placement à l'international est l'une des missions faisant partie intégrante de l'Anapec. Il faut souligner à ce propos une reconnaissance à l'échelle mondiale de ce dispositif-pilote, toujours perfectible certes, mais qui commence à donner des résultats fort importants. Nous sommes en train de tisser une relation particulière avec notre voisin espagnol et, à mon sens, ce genre d'opérations est le seul capable de mettre un terme au phénomène de l'immigration clandestine», explique Hafid Kamal, DG de l'Anapec. Et c'est, justement, le véritable enjeu de pareille initiative. Certes, une campagne s'étalant au maximum sur six mois permet à un Marocain de gagner beaucoup plus d'argent qu'il ne pourrait le faire pendant une année de travail au Maroc. A titre d'exemple, une travailleuse dans les champs peut gagner jusqu'à 250 euros (environ 2.800 DH) par semaine, sans devoir s'acquitter des frais de loyer ni des charges inhérentes, puisque le logement est mis à disposition par l'employeur. De là à envisager que l'augmentation des travailleurs légalement immigrés est de nature à réduire le nombre des rêveurs de l'Eldorado. Sur un autre registre, ce process avait généré un problème tout à fait légitime pour des sans-emploi: celui du retour. En effet, au tout début des premières opérations du genre, les candidats ayant remporté haut la main «l'examen» d'immigrer légalement le temps d'une campagne, se transformaient en candidats à l'immigration clandestine, évitant ainsi un retour au pays.


La chose n'allait pas durer, puisque les conditions de traverser le détroit allaient être au sujet d'une refonte en profondeur : pour décrocher son ticket, il faudrait impérativement être mère de famille à charge. C'est un peu dur, certes, mais le comportement des travailleurs a été tel qu'il a fallu imposer des règles draconiennes car celles établies au départ ont, tout simplement, été bafouées. «Jusqu'à l'année dernière, le retour était un véritable problème. Mais depuis, l'Anapec a modifié ses critères de présélection pour donner la priorité aux femmes mariées ayant des enfants.


Chose qui fait que le taux de retour au Maroc devrait s'élever à 95% cette année», explique pour sa part Eduardo Martin Toval, conseiller du travail et des affaires sociales à l'ambassade d'Espagne à Rabat. A ce propos, le taux de retour en 2004 affichait à peine le chiffre de 20%.


En revanche, un immigré provisoire qui fait preuve de bon respect des règles du jeu se voit attribuer, de facto, un droit de retour en Espagne l'année suivante, lors de la prochaine campagne avec, à la clé, la possibilité de travailler dans la même entreprise. Parallèlement, le placement à l'international est en train de s'ouvrir sur d'autres perspectives. «Le travail de manière légale a pris les allures d'une autre forme de coopération, depuis que nous collaborons de gouvernement à gouvernement. Le processus est gratuit, transparent et efficace.


Source : Le Matin


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Maroc : Ouled Ziane se prépare pour l'Aïd


A l'approche de l'Aïd El Kébir, les quais de départ de la gare routière Ouled Ziane enregistrent une grande affluence de voyageurs.


Les guichets sont pris d'assaut par les habitants de la cité blanche qui cherchent à rejoindre diverses destinations du pays. Les va-et-vient se font dans tous les sens. L'ambiance atteint son comble à l'intérieur de cet espace de voyage. Tout le monde se bouscule dans un joyeux désordre pour acheter un billet.


«C'est quasiment le même décor à chaque période de l'Aïd. Les guichets sont presque fermés, alors que certains vendeurs de billets sont déchaînés à la vue de clients potentiels. Ils guettent les voyageurs pour leur proposer des tickets au noir à des prix plus élevés», souligne Lahcen, qui tente de prendre l'autocar pour Agadir. Pourtant, les responsables du transport ont établi à l'avance une nouvelle stratégie de gestion pour organiser ce secteur durant la fête de l'Aïd Al-Adha.


Ils ont ainsi tenu plusieurs réunions avec les transporteurs afin de faire face à l'affluence débordante des voyageurs. Dans ce cadre, 1.600 autorisations exceptionnelles ont été délivrées au niveau du Grand Casablanca.


«Durant cette période, on enregistre 600 à 650 départs quotidiens. Cependant, durant les deux jours avant l'Aïd, on prévoit une flotte d'environ 1.000 autocars pour transporter le grand flux de passagers», explique Abdelatif Essaf, directeur de la gare routière Ouled Ziane.


Et d'ajouter que parfois, le nombre de voyageurs est inférieur aux prévisions des responsables, d'où le cumul des autocars à l'intérieur de la gare. «Ces efforts sont loin de couper court aux magouilles des courtiers déchaînés qui harcèlent les voyageurs désemparés», rétorque Halima, une sexagénaire en voyage à Safi. «Pendant toute l'année, nous sommes obligés de brader les tarifs pour transporter les gens.


Un billet d'un prix de 130 DH pouvait se vendre à 100 ou à 90 DH. Aujourd'hui, c'est à nous de tirer profit de la situation, puisque les gens veulent à tout prix passer la fête en famille», répond sans détour un courtier. Un autre un peu plus diplomate justifie cette pratique par le besoin de couvrir les charges de voyage.


«Les autocars en partance vers la majorité des villes du Royaume du Maroc reviennent à Casablanca complètement vides», a-t-il déclaré. A ce propos, Abdelatif Essaf affirme que «malgré les mesures répressives prises à l'encontre des fraudeurs, il est tout de même difficile de combattre leurs combines de façon définitive. Toutefois, d'année en année, on arrive à réduire leur marge de manoeuvre». Et de préciser que la direction a verrouillé toutes les issues menant à la gare afin d'interdire la vente de billets au noir.


Dans ce cadre, deux équipes de la sécurité routière sont mises en place en permanence aux alentours de la gare afin d'appeler les usagers à se diriger vers les guichets.


Par ailleurs, l'accès au quai est entièrement contrôlé par des vigiles qui vérifient le cachet de la direction sur l'ensemble des billets. Ce dispositif de sécurité est également renforcé par la présence d'une équipe de contrôle de prix pour recevoir les plaintes des voyageurs.


Cependant, selon les habitués de cette gare, malgré les mesures de sécurité et de répression mises en place par les responsables, le voyage de Ouled Ziane en période de l'Aïd est tout sauf une partie de plaisir.


Source : Le Matin


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Maroc : Reprise des débats au Parlement


Les débats au sein de l'institution législative autour des textes de la moralisation de la vie publique, soumis une autre fois au Parlement, seront-ils houleux comme lors de la précédente législature ?


En tout cas, les parlementaires n'auront à débattre que les amendements que le gouvernement a introduits après le rejet du conseil constitutionnel de certaines dispositions des trois lois organiques relatives aux représentants, aux conseillers et aux membres du conseil constitutionnel lui-même. Les parlementaires de l'opposition comptent bien saisir l'occasion pour jouer leur rôle et animer le débat autant que faire se peut. C'est ce que déclare Lahcen Daoudi, du Parti de la lampe, qui indique que les partis de l'opposition iront jusqu'au bout. " L'expertise est du côté du gouvernement. Les parlementaires, eux, ne disposent pas d'assez de spécialistes pour juger la conformité des lois avec la Constitution.


Nous allons jouer notre devoir. Le PJD a renforcé ses capacités en experts en commission", dit-il. Said Ameskane, chef du groupe du Mouvement populaire à la première Chambre, revient à la case départ. Il estime, en effet, que logiquement un parlementaire n'est pas tenu de déclarer son patrimoine, car il n'est pas un ordonnateur : " qu'est-ce qu'il va voler ? Et dans quelle finalité doit-il déclarer son patrimoine ? Mais la décision du conseil constitutionnel est incontestable. " Chez les rangs du groupe de l'Istiqlal, on signale que la décision du conseil constitutionnel est louable, car elle rend les textes plus clairs. Mais Latifa Bennani Smires, chef du groupe, tient à souligner que les parlementaires istiqlaliens tiennent à ce que la déclaration du patrimoine englobe les ministres également pour une raison d'équité.


C'est cette dernière requête qui a fait susciter des débats animés au sein de l'institution législative au cours de la précédente législature. Les textes avaient traîné à cause de ces discussions et n'ont été entérinés qu'à la fin de la dernière session de printemps. En principe, les lois organisationnelles doivent impérativement passer par le conseil constitutionnel avant d'être publiées au Bulletin officiel. Cette instance a fait deux remarques quant aux trois textes.


La première est relative à l'octroi d'un délai supplémentaire aux membres du conseil constitutionnel qui ne déclarent pas leur patrimoine ou dont la déclaration n'est pas complète ou imprécise. Le projet de loi prévoyait un délai de trois mois, mais l'amendement introduit par le gouvernement ajoute une autre échéance d'un mois précédée d'un avertissement avant de procéder aux sévères sanctions. La deuxième remarque est moins importante et est relative à la forme. Dans le texte entériné par le Parlement, les parlementaires sont appelés à déclarer leur patrimoine après la fin de leur mandat, sinon ils seront contraints de verser une amende. Le conseil constitutionnel estime qu'à la fin du mandat, il ne faut pas recourir aux lois organisationnelles mais plutôt au code pénal, car les parlementaires deviennent de simples citoyens.


Selon les observateurs, a priori, les discussions en commission autour de ces deux amendements ne seront pas houleuses, car les débats ont assez duré lors de la précédente législature. De ce fait, les textes de la moralisation de la vie publique au Maroc ne risqueront pas de traîner et pourront passer au cours de cette première session parlementaire. C'est l'avis aussi des députés de la majorité qui signalent que les textes sont prêts à être adoptés après leur transfert au Parlement. Il est à rappeler que les projets de loi de la déclaration du patrimoine ont suscité une grande polémique au Parlement, notamment les textes organisationnels relatifs aux deux Chambres de l'institution parlementaire.


Un véritable blocage a été exercé par les conseillers qui ont mis du temps à discuter les textes en commission. Il a fallu plusieurs mois de stagnation et maintes réunions avant l'adoption desdits projets.


Source : Le Matin


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Sahara Marocaine : Le Corcas tient sa deuxième session ordinaire

Le Conseil royal consultatif des affaires sahariennes (Corcas) a tenu, hier à Smara, sa deuxième session ordinaire qui s'étend sur deux jours.

Cette réunion intervient dans un contexte caractérisé, entre autres, par les préparatifs au troisième round des pourparlers entre le Maroc et le front du polisario, du 7 au 9 janvier prochain à Manhasset, banlieue new-yorkaise. Mais, il ne faut pas non plus perdre de vue les récentes évolutions de l'affaire, liées principalement au congrès polisarien dans la zone tampon de Tifariti et les violations qu'un tel acte représente.

L'ordre du jour de cette session est, pourtant, plus riche. Primo, le Conseil s'est penché sur la proposition d'autonomie en tant que solution définitive du différend factice autour du Sahara marocain. Secundo, le conseil débattra, aujourd'hui, d'une thématique purement économique, liée au développement du transport aérien et du réseau routier dans les provinces du sud. En effet, dans son allocution d'ouverture de la session, Khalihenna Ould Errachid, président du Corcas, a insisté sur la relation qui existe entre l'intégrité territoriale du Royaume et son pendant de progrès et de développement. Sont justement présents à cette session le ministre de l'Equipement et du Transport, Karim Ghellab, aux côtés de Chakib Benmoussa, ministre de l'Intérieur, Ahmed Lakhrif, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et Latifa Akherbach.

Fait à la fois marquant et positif, relaté par Ould Errechid dans son discours, est celui du cinglant revers essuyé par le polisario, après la tenue du Congrès de Djijimat, à 20 kilomètres au sud-est de Tifariti qui a montré la grande fissure qui s'est faite jour au sein des rangs du polisario.

Le responsable a tenu à saluer le sursaut de ces tributs, issues principalement de Rguibat, qui ont crié haut et fort, le 14 décembre courant, leur soutien à l'Initiative marocaine d'autonomie et leur refus du totalitarisme polisarien dans les camps de Tindouf. Il a indiqué, à ce propos, que des préparatifs sont en cours pour protéger ces populations et les ramener à la mère patrie.

A quelques jours donc du troisième round des pourparlers, le Maroc se trouve en position de force face à un interlocuteur miné de l'intérieur par les dissensions qu'il ne peut plus cacher et considéré à l'extérieur comme principal écueil à une solution juste dans les provinces du sud. Quant aux menaces de recours à la force proférées récemment par le front, Ould Errechid a affirmé que le polisario n'en a ni les moyens ni la cohésion et que cet agissement vise à intimider les instances internationales, principalement les Nations unies.

Quant aux scénarios liés au prochain round de pourparlers, le président du Corcas n'a pas caché son espoir qu'entre-temps la direction du polisario change suite aux dissensions qu'elle a subies durant et après le congrès de Tifariti. Un basculement qui peut agir en faveur d'échanges constructifs lors du troisième round si l'aile qui privilégie l'apaisement soit représentée en force. Toutefois, Ould Errechid craint, également, que le polisario n'ait pas encore une fois les coudées franches pour s'investir dans une solution acceptée par toutes les parties prenantes au conflit. Car, a-t-il insisté, une partie de la direction du polisario est sous la pression de ceux qui l'aide à rester dans les commandes.

Source : Le Matin


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Sahara Marocaine : Ould Errachid met les points sur les «I»


Lors de la séance d'ouverture, Khalihenna Ould Errachid, président du Corcas, a souligné que cette session, qui se tient pour la deuxième fois dans la région.


après la session extraordinaire tenue à Laâyoune le 29 juin dernier, sur ordre de S.M. le Roi Mohammed VI pour examiner les résultats du premier round des négociations de Manhasset, sera consacrée à l'examen de plusieurs questions, notamment l'autonomie en tant que solution définitive pour réaliser la réconciliation et le retour dans la dignité, le transport aérien et le réseau routier dans les provinces du Sud. Il a rappelé que le processus d'autonomie a été lancé à l'occasion de la visite historique de S.M. le Roi Mohammed VI à Laâyoune et particulièrement après le discours du 25 mars 2006 annonçant la création du Corcas.


M. Ould Errachid a également rappelé les étapes déjà franchies par la proposition d'autonomie et l'accueil favorable qui lui a été réservé à travers le monde, avant d'être soumise au Secrétaire général des Nations unies le 11 avril 2007. Le président du Corcas a indiqué que dans sa résolution historique 1754, le Conseil de sécurité avait salué le sérieux, la crédibilité et l'importance de la proposition marocaine, précisant que cette résolution a jeté les fondements d'une nouvelle approche pour le règlement du conflit du Sahara qui consiste en le rejet de toutes les approches irréalistes et les plans stériles élaborés précédemment et qui met l'accent sur l'attachement aux négociations sur la base de la bonne volonté en tant que moyen unique pour la résolution de ce conflit qui n'a que trop duré. "Nous considérons que la résolution 1754 constitue effectivement un nouveau départ à même de favoriser la résolution, dans les plus brefs délais, de la question du Sahara marocain pour peu que les autres parties fassent preuve de bonne volonté", a-t-il indiqué.


Il a également rappelé la tenue des premier et deuxième rounds des négociations sur le Sahara à Manhasset qui ont consacré le début d'une nouvelle étape pour le traitement de cette question selon une méthode civilisée qui peut aboutir à une solution définitive qui satisfait tout le monde. Ces négociations, a-t-il dit, ont déstabilisé le "polisario" et ceux qui le soutiennent dans ce sens qu'elles ont constitué une rupture avec les procédures passées et lancé un nouveau processus entamé par l'adoption de la résolution 1754, qui appelle et insiste sur la tenue de négociations directes devant aboutir à une solution définitive, consensuelle et acceptée par tous.


Khalihenna Ould Errachid a rappelé que le Conseil de sécurité avait réaffirmé, dans sa résolution 1783, qu'il poursuivait la même approche qu'il a adoptée pour le règlement du conflit du Sahara et a souligné encore une fois la crédibilité et le sérieux de l'Initiative marocaine.


Le Royaume du Maroc, a-t-il dit, a fait montre de sa bonne foi en créant le Corcas, qui considère que la participation directe des fils des provinces du Sud à la réflexion sur leur avenir et à la présentation du projet d'autonomie est une approche appropriée pour le règlement de cette question sur la base du principe "ni vainqueur ni vaincu". Le fait d'accepter des négociations directes avec le front "polisario" est en soi une expression sincère et courageuse de la bonne foi et de la volonté du Maroc de trouver une solution définitive à ce différend qui n'a que trop duré, a-t-il ajouté. L'autre partie aux négociations, qui n'est en fait pas une mais plusieurs, n'a jusqu'à présent pas d'objectifs clairs et n'a pas encore fait preuve de bonne foi, a-t-il noté, soulignant que l'attachement continu de celle-ci au référendum d'autodétermination n'est rien d'autre qu'un prétexte et une manœuvre pour éterniser le conflit pour des raisons inavouées.


Le président du Corcas a assuré, par ailleurs, qu'"il n'y avait jamais eu, à travers l'histoire, une entité séparée du Maroc dans cette zone", notant que les Sahraouis "sont restés à travers l'histoire une des composantes essentielles et fondamentales de la Oumma marocaine et qu'ils n'ont été soumis à aucune autorité, autre que celle des Souverains du Maroc, à travers les liens sacrés de l'allégeance". M. Ould Errachid a rappelé, à ce propos, les grandes étapes historiques qui illustrent cette vérité et le rôle primordial des fils de la région dans la lutte pour l'indépendance du pays et pour le parachèvement de l'intégrité territoriale du Royaume. Il est absurde de tenter de faire croire qu'un mouvement séparatiste ait été créé en 1973, car nul ne peut prétendre que dans l'histoire il y ait eu une rupture entre le Maroc et son Sahara, a souligné M. Ould Errachid. Il a rappelé, dans ce sens, l'existence de liens d'ordre religieux basés sur l'allégeance, humains à travers les liens familiaux et d'autres forgés par la résistance contre l'occupant et la participation aux grandes questions nationales, outre les relations économiques et commerciales.


C'est pour toutes ces raisons, a ajouté M. Ould Errachid, que le conflit du Sahara est considéré comme étant un différend créé du temps de la Guerre froide et autour de revendications inavouées n'ayant aucun lien, ni de près ni de loin, avec les Sahraouis. Au vu de ces liens profonds qui ont toujours uni et qui uniront les Sahraouis au Souverain du Maroc, et compte tenu de leur indéfectible attachement au Trône Alaouite, aucune tentative quelle qu'elle soit ne pourra attenter à cette unité et au lien sacré de la ‘'Beiâ'' dont tous les Sahraouis sont dépositaires.


Partant de cela, "nous disons au groupe qui dirige le front ‘'polisario'' qu'il est vain de continuer de s'attacher aux slogans et à l'impossible", a-t-il dit. M. Ould Errachid a souligné que le polisario n'est pas un mouvement démocratique et qu'il ne l'a jamais été, car il a été fondé sur un système totalitaire et dictatorial dans le but d'exercer un pouvoir absolu sur les citoyens et d'avoir un contrôle total sur eux et sur leurs comportements.


M. Ould Errachid a souligné que la direction du polisario doit revoir ses calculs et se rendre compte qu'un référendum vicié fondé sur une opération d'identification erronée est autant irréalisable que l'est la séparation du Sahara du Maroc, ajoutant qu'il est vain de faire perdurer ce conflit. Le président du Corcas a estimé qu'il est temps pour cette direction de comprendre que l'existence des camps de Tindouf est une catastrophe aux plans humanitaire, moral et social. Khalihenna Ould Errachid a souligné que la responsabilité de cette situation critique incombe au polisario, qui a créé ces camps à Tindouf et séquestre leurs populations, pendant plus de trois décennies, en violation flagrante des droits de l'Homme.


Il a également rejeté la responsabilité du déchirement des familles sahraouies sur le polisario et sur ceux qui le manipulent, pour des raisons hégémoniques, qu'il accuse d'avoir commis une grave erreur, en utilisant les pensionnaires des camps de Lahmada comme une ‘'carte politique perdue d'avance''. Les choix ainsi opérés par le polisario ont des conséquences graves sur les populations de ces camps, a-t-il déploré. Le président du Corcas a affirmé que le Maroc a proposé l'autonomie de ses provinces du Sud, dans le cadre d'une nouvelle approche pour le règlement de la question du Sahara, une approche courageuse et audacieuse, fondée sur la réconciliation, la responsabilité et la volonté d'ouvrir une nouvelle page, celle de l'entente et de la fraternité.


Il est à présent du devoir des dirigeants du polisario de saisir l'opportunité, qui leur est offerte, pour sortir de l'impasse dans laquelle ils se sont embourbés, a souligné M. Ould Errachid, ajoutant que cela passe par la proclamation de leur adhésion au projet d'autonomie, dans les plus brefs délais.


Tout indique que le fossé se creuse de plus en plus entre les populations des camps de Tindouf et une direction imposée, isolée et dépassée, a fait remarquer le président du Corcas, affirmant que les populations des camps aspirent plutôt à rentrer chez elles, dans des conditions honorables et dignes, pour pouvoir participer au processus de développement de la région et mener une vie normale, à l'instar de leurs concitoyens.


Le statut quo adopté par le polisario n'est qu'une manœuvre dilatoire de ses dirigeants pour éterniser le conflit, car revendiquer l'impossible traduirait la volonté non déclarée d'éterniser le conflit, obéissant ainsi à un agenda tout aussi inavoué, qui a sous-tendu la création même du polisario. Lors de la session d'ouverture à laquelle a pris part le Secrétaire général du Corcas, Maouelainin Ben Khalihenna Maoualainine, M. Ould Errachid a formulé le souhait que le prochain round des négociations, qui débutera la première semaine de janvier prochain à Manhasset, soit l'occasion pour que l'autre partie fasse montre de bonne foi, une foi fondée sur la sincérité et le respect de la volonté des Sahraouis de vivre dans la mère patrie, le Royaume du Maroc, dans le cadre d'une autonomie sous souveraineté marocaine.


Conformément à l'approche royale assimilant l'unité au progrès, à la démocratie et au développement, le Corcas examinera durant cette session la problématique du transport aérien, le réseau routier dans les provinces du Sud, compte tenu de l'impact de ce secteur sur le développement de ces provinces et l'encouragement des investissements, a-t-il conclu.


Source : Le Matin




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Sahara Marocain : Le polisario fissuré par des dissidents séduits par le plan d'autonomie au Sahara


L'actualité saharienne des dernières trente-six heures sur fond du pseudo-congrès du polisario a été dominée par deux événements significatifs : la dissidence proclamée d'un groupe du polisario, qui vient de tenir sa réunion dans le nord de la Mauritanie, ensuite la proclamation officielle d'un autre groupe du même polisario qui, réuni dans la petite localité de Gjijimat, non loin de Tifariti, a annoncé son soutien au projet d'autonomie du Maroc dans le Sahara.


Ce ne sont pas de simples fractions dissidentes, mais deux groupes importants qui comptent au sein du polisario. Ce ne sont pas non plus des groupes, comme on eût pu l'imaginer facilement, qui vivent sur le sol marocain et qui seraient de ce fait taxés de faire le jeu du Maroc. Ce sont, en revanche, pour le premier comme pour le second, deux groupes dissidents, résolus désormais à marquer leur différence et à se définir comme tels.


Au moment où se tenait la mascarade du douzième congrès du polisario à Tifariti, les deux groupes dissidents avaient donc choisi séparément de réunir leurs militants, tandis qu'à Smara se tenait une importante réunion du Corcas (Conseil royal consultatif des affaires sahariennes). Si aucun lien ne semble établi entre de telles activités, si la dissidence au sein du camp des séparatistes émerge comme un trait saillant, il faut noter que les travaux du Corcas à Smara surviennent à trois semaines du troisième round de Manhasset. Et qu'à l'inverse de ce qui se passe dans l'autre camp, le Corcas harmonise plutôt ses positions, conforte ses acquis diplomatiques et se prépare avec sérénité aux pourparlers de New York. Autant le simulacre de Tifariti a constitué un « non événement », autant les proclamations des groupes dissidents ont rompu la façade, brisé la carapace d'unité irréductible que les propagandistes algériens et leurs stipendiés s'efforcent de nous vendre depuis des années.


Autant enfin la réunion du Corcas affirme la cohésion marocaine autour d'un projet que la communauté internationale attend de voir mettre en œuvre, celui de l'autonomie que des membres significatifs du polisario n'hésitent pas aujourd'hui à reprendre à leur compte et à défendre comme une solution raisonnable et constructive, la seule qui reste plausible aux yeux de tous.


Les déclarations de Gjijimat et du groupe dissident réuni dans le nord de la Mauritanie, préférant déserter les mascarades de Tifariti, marquent un tournant grave au sein d'un mouvement qui ne sait plus à quoi s'en tenir et que le gouvernement algérien porte à bout de bras.


La contestation, sur fond d'une gravissime mise en cause due aux plaintes déposées à Madrid pour sévices et génocide par le polisario contre les séquestrés de Tindouf, la rupture d'une ligne idéologique, les scandales répétés de détournements des aides des Nations unies et d'autres ONG internationales, la césure entre «réalistes» et «dogmatiques» du mouvement participent d'un malaise approfondi du polisario. Jamais l'expression de désenchantement au sein du mouvement n'a autant pris de poids et de valeur qu'en ce moment.


Que les chaînes de télévision – notamment «Al Jazeera» et autres européennes-fassent état de cette crise , témoigne en effet du tournant auquel le polisario est aujourd'hui confronté, du dilemme cornélien qui lui est infligé : se résoudra-t-il à la réalité internationale, celle du projet d'autonomie qui est le dernier acte de l'affaire du Sahara et donc le sujet d'une unité dans la dignité ou pliera-t-il de nouveau l'échine devant les sordides manigances des militaires algériens qui tirent les ficelles dans un jeu suicidaire, à la fois pour la région et pour le polisario ? C'est la question centrale qui n'a pas fini de faire beaucoup d'encre et de désespérer les peuples.


Source : Le Matin


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lundi 17 décembre 2007

Fès fête le cinéma éducatif

Fort du succès des six éditions précédentes, le Festival national du film éducatif de Fès entame une nouvelle étape plus novatrice.

Prévue du 10 au 13 avril prochain, cette nouvelle édition abordera les problématiques de l’éducation sous tous ses aspects: santé, justice, enseignement, sports, citoyenneté et environnement. «Elle favorise aussi les échanges entre le monde des cinéastes et celui des professionnels de l’éducation », souligne Farah Aouan, directeur adjoint du festival. Ainsi, cette année, la rencontre sera marquée par la participation de films éducatifs représentant différentes régions du Maroc. L’objectif affiché par les organisateurs - en l’occurrence l’Académie régionale de l’éducation et de la formation Fès- Boulemane et l’association «Espace de la création cinématographique et théâtrale»- est d’inciter les jeunes à faire preuve de créativité dans ce domaine.

A cet effet, le comité d’organisation prévoit un programme riche et diversifié alliant les dimensions instructive et de diversissement des projections. Il prévoit aussi des ateliers de formation animés par des spécialistes. Aussi, le colloque national, qui verra la participation d’académiciens et de cinéastes de renom, s’articulera autour du thème : « Le film éducatif: un vecteur essentiel pour la consolidation du comportement civique». Et pour rester en phase avec la tradition commémorative qui constitue l’un des moments forts de cette manifestation, la direction du festival a décidé de rendre hommage à Nourdine Saïl, directeur général du Centre cinématographique marocain (CCM) pour ses efforts concernant la promotion du cinéma.

Côté compétition, les différentes académies sont invitées à constituer leur commission régionale et à désigner le film qui les représentera. D’importants prix sont prévus pour récompenser les meilleurs scénario, production et interprétation.

Source : leconomiste





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Une journée d’information pour la polyarthrite rhumatoïde

Une sensibilisation tous azimuts. L’Association marocaine de lutte contre la polyarthrite rhumatoïde (AMP) organise sa 1re Journée nationale le 22 janvier à Casablanca. «Il est important de comprendre la difficulté de vivre la polyarthrite rhumatoïde au quotidien», souligne le Dr Saleh Bennouna, président de l’AMP et organisateur de l’évènement. Au programme de la journée : des jeux, des ateliers et un «workshop». Des médecins et des patients viendront expliquer aux journalistes ce qu’est cette maladie. L’idée est de démontrer comment elle peut «détériorer petit à petit la qualité de vie au point de devenir un véritable handicap». Côté animation, un film exposant l’évolution de la prise en charge thérapeutique des patients sera diffusé à cette occasion.

Pour rappel, la polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire qui touche les articulations. Plusieurs personnes confondent cette pathologie avec du rhumatisme. Les spécialistes tranchent: «La polyarthrite rhumatoïde est une pathologie grave, chronique, qui évolue par poussées». Ce sont les femmes qui en sont les plus touchées: 3 fois plus souvent atteintes que les hommes. Les symptômes apparaissent souvent entre 30 et 45 ans. Ce sont tout d’abord des douleurs articulaires, principalement dans les mains. Si rien n’est fait surviennent ensuite les gonflements, l’ankylose et la déformation jusqu’au blocage total. Parmi les caractéristiques, des déformations du type « mains en coup de vent » ou « doigts en col de cygne».

Bien qu’elle soit mal connue du grand public, la polyarthrite rhumatoïde toucherait, selon les estimations, entre 0,25 et 1% de la population, soit 87 à 350.000 personnes au Maroc.

Les séquelles physiques, mais également psychologiques, nécessitent une prise en charge et un accompagnement conséquent. «Cette maladie n’est pas une fatalité. Il existe des traitements capables de soulager les symptômes, mais aussi des traitements de fond capables d’enrayer l’évolution de la maladie», souligne Bennouna. Les patients peuvent également adopter des postures adaptées, en portant des attelles, en pratiquant des exercices simples et en suivant des conseils diététiques.

Source : Leconomiste




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Caméléon

DE l’Ukraine en Guinée en passant par le Bénin, les entreprises marocaines, et pas forcément les plus grandes d’entre elles, sont entrées dans la globalisation de la gestion des ressources humaines avec le processus d’internationalisation de leur activité. Cet élément nouveau chamboule toute la vision de la gestion des compétences.

Le portrait-robot des cadres pour accompagner cette évolution change de fond en comble. Si le diplôme de grandes écoles, françaises de préférence, ou de grandes universités américaines reste un atout, la capacité à évoluer et à s’adapter dans différents environnements, pas toujours cléments, devient l’argument central aux yeux de l’employeur. Avantage donc aux cadres caméléons. Reste à confier un vrai projet aux intéressés au risque de subir les conséquences du revers de ce qui fait la force d’un caméléon. Sa capacité à changer (d’employeur) à la moindre insatisfaction.

Source : Leconomiste


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Production industrielle: +4% pour le 3è trimestre

L’indice de la production industrielle au Maroc s’est accru de 4% au cours du troisième trimestre 2007 par rapport à la même période de 2006.

Au registre des industries ayant connu un accroissement de leur production, on trouve, entre autres, l’automobile (+41,8%), le raffinage de pétrole (+8,2%) et les machines et équipements (+7,6%). Les industries du cuir, articles de voyage et chaussures connaissent, en revanche, une baisse de 6,9%.

Les produits chimiques s’inscrivent dans la même tendance (-4,6%). Les indices de productions minière et électrique augmentent respectivement de 1,8 et 8% au cours du troisième trimestre 2007.

Source : Leconomiste



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Bourse: Addoha de retour

Profitant de l’annonce du rachat de 50% de Fadesa Maroc, Addoha a réalisé le chiffre d’affaires le plus important de la semaine dernière en Bourse (2,2 milliards de DH). Néanmoins, cette opération n’a pas eu d’effet sensible sur le cours de l’action qui n’a pris que 0,46% à 3.280 DH. BMCE Bank arrive deuxième avec 1,2 milliard de DH de volume et un cours en hausse de 1,24% à 2.690 DH. Par ailleurs, Masi et Madex ont, certes, rompu avec le trend baissier, mais ils n’ont pris que 0,18 et 0,22% à 12.436 et 10.327 points respectivement. Les progressions annuelles demeurent supérieures à 30% (31,2% pour le Masi et 32,2 pour le Madex). La capitalisation boursière s’établit à 573 milliards de DH. La nouvelle recrue Stockvis a rompu rapidement avec son trend baissier, essuyant la plus forte baisse de la semaine (-7.87% à 761 DH) dans un volume de 91 millions de DH. La plus forte hausse concerne La Marocaine Vie qui a pris 12% à 382 DH avec un chiffre d’affaires de 14 millions de DH. Côté volume, les transactions de la semaine ont drainé 23 milliards de DH dont 9 milliards sur le marché central. Le marché de blocs a encore été monopolisé par les allers-retours qui ont drainé 7 milliards de DH dont 3 milliards pour Maroc Telecom.

Source : Leconomiste



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L'Espagne cherche encore «ses» terroristes au Maroc

Le juge espagnol Juan del Olmo, chargé de poursuivre l’enquête sur les attentats de Madrid du 11 mars 2004, a décidé de se rendre au Maroc dès ce lundi, pour continuer une investigation qui est apparemment loin d’être classée.

Selon l’Audience nationale espagnole, le magistrat aurait en sa possession un échantillon d’ADN de Saad Husseïni, alias Moustafa le chimiste, suspecté d’avoir préparé les bombes qui ont tué 191 personnes à la gare d’Atocha. Selon le quotidien espagnol El Mundo, le juge devrait confondre le présumé coupable dans le cadre d’une mission rogatoire de trois jours, grâce à ce prélèvement génétique pour la comparer aux autres empreintes relevées lors du massacre et qui restent, encore aujourd’hui, anonymes. Ce Marocain de 45 ans, déjà arrêté pour falsification de documents en Espagne, avait été soupçonné d’être l’artisan des bombes utilisées lors des attentats de Casablanca du 16 mai 2003 qui avaient provoqué la mort de 45 personnes. La police marocaine, qui le recherchait activement depuis 2002, l’avait tenu responsable de la création des cellules terroristes et de toute la logistique des explosifs qui avaient été utilisés. Jusqu’à son arrestation dans un cybercafé au quartier Sidi Maârouf, Saad Husseïni était le chef du bras armé du Groupement islamique des combattants marocains et comptait de nombreux voyages en Afghanistan à des fins jihadistes. Licencié en chimie à Meknès, il avait également obtenu son doctorat dans la ville espagnole de Valence. Cet homme gérait apparemment un réseau important de terroristes. Selon les autorités espagnoles, Husseïni était connu pour être le confident de Safwan Sabagh, accusé, lui aussi, des crimes de Madrid. Les informations transmises à l’Audience nationale ajoutent que plusieurs personnes impliquées dans les attentats du 11 mars s’étaient déplacées dans la ville ibérique peu avant le massacre. Le cas le plus révélateur étant celui de Alkema Lamari, un des sept kamikazes originaires de Léganes, une ville située au sud-ouest de la Communauté autonome de Madrid. Cet Algérien se rendait fréquemment à Valence pour y mener ses opérations avec d’autres activistes islamistes. Il était responsable de la planification des attentats. Dans une vidéo enregistrée dans l’appartement qui avait été plastiqué lors de l’arrivée de la Garde Civile pour leur arrestation, il menaçait l’Espagne d’autres attentats mortels. En 1995, il avait été condamné à 14 ans de prison, mais il n’avait pas purgé toute sa peine. Il fût l’un des derniers kamikazes à être identifié.

Juan del Olmo compte aussi interroger le présumé auteur des attentats du 11 mars, Abdelilah Hriz. Son empreinte ADN avait été retrouvée dans la maison où les bombes ont été assemblées et dans l’appartement où les sept kamikazes s’étaient suicidés en 2004. Le 28 février dernier, lorsque le magistrat avait entamé son jugement, il avait prononcé une sentence qui le condamnait pour les 191 assassinats. Le contexte pour continuer l’enquête est donc tout à fait propice. Même si la justice espagnole a condamné le 31 octobre 2007, 21 des 28 accusés, dont trois à des peines records de plus de 40.000 années de prison. Le tribunal espagnol n’avait mis en évidence aucun lien matériel entre les attentats et Al Qaïda, se contentant d’évoquer l’action de «cellules de type jihadiste». Saad Husseini pourrait être ce lien manquant.

Ce n’est pas la première fois que le Conseil général du pouvoir judiciaire autorise le juge à se déplacer au Maroc. En Avril 2006, le magistrat s’était déjà déplacé à Rabat et à Casablanca pour interroger Mimoun Belhadj, le frère de Youssef Belhadj, déclaré membre de la cellule terroriste par le tribunal pour le 11 mars. Lors du même voyage, le juge avait récupéré dans le laboratoire de la police scientifique de Casablanca, les échantillons biologiques qui étaient stockés et qui ont servi à déterminer le profil génétique de certaines personnes impliquées dans les attentats.

Source : Leconomiste


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Fin des quotas chinois: Enfin du concret!

LES contours de l’accord quadra signé entre le Maroc, la Tunisie, l’Egypte et la Jordanie en 2004 (www.leconomiste.com) sont enfin plus clairs. La fin des quotas sur les exportations chinoises a finalement pu pousser les pays signataires à déterminer de façon plus précise leur plan d’action.

C’est lors de leur réunion à Tunis à l’occasion du forum économique tenu la semaine dernière que les pays méditerranéens ont adopté ce plan d’action. Des experts du textile et des représentants des quatre pays se sont déplacés pour l’occasion. Plusieurs actions vont être instaurées. Tout d’abord, le renforcement du commerce intra-régional des intrants. Il s’agit de mettre l’accent sur la collaboration avec des compagnies de commerce international pour conquérir de nouvelles parts de marché en Europe, considérée comme un débouché essentiel des produits textiles de pays sud-méditerranéens. D’ailleurs, Abdellatif Maâzouz, ministre du Commerce extérieur, présent lors du forum, avait souligné la nécessité d’assouplir les procédures douanières en vue de donner un coup de pouce aux échanges commerciaux. Ensuite, la création d’une structure de gestion et de groupe de prospection communs pour cibler de nouveaux marchés a également été prévu. Il s’agit de viser des marchés comme les Etats-Unis notamment où la Jordanie est déjà présente. Ceci dit, ces mesures ne peuvent être complétées sans recours aux nouvelles technologies. Les participants ont proposé à cet effet la mise en place d’un réseau régional de recherche et développement sur la compétitivité des produits et l’utilisation des nouvelles technologies. Il était également question de créer un institut commun de formation du personnel.

Par ailleurs, l’on redoute aussi la levée des quotas de l’autre côté de la rive. Les Européens ne veulent pas que la mésaventure de 2005 se reproduise. Les eurodéputés ont demandé à leur Commission des mesures pour éviter une nouvelle déferlante de produits bon marché.

Dans une résolution adoptée jeudi dernier, dont la valeur est seulement indicative, le Parlement européen a demandé à la Commission de garantir la mise en oeuvre appropriée du système de surveillance conjointe et d’en évaluer rapidement les résultats. Le Parlement a aussi, en adoptant un amendement déposé par l’extrême gauche, attiré l’attention sur le fait qu’il est nécessaire de mettre en place de nouvelles mesures de sauvegarde, notamment pour certaines catégories de produits. L’objectif étant de permettre le maintien et la promotion de l’emploi et des activités liées au secteur textile européen. En tête de leur résolution, les eurodéputés ont rappelé que de telles mesures de sauvegarde, sous la forme de nouvelles restrictions aux exportations chinoises, pouvaient être, en vertu de l’accord d’adhésion de la Chine à l’OMC, appliquées par l’UE jusqu’à fin 2008, si les exportations chinoises devaient perturber le marché. Cependant, les eurodéputés ne se sont cependant pas montré unanimes en faveur de nouveaux quotas.

Source : leconomiste


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Nouveaux monomoteurs pour RAM Academy

Pour faire face au doublement de son effectif d’élèves pilotes, l’Ecole nationale de pilote de ligne (ENPL) a lancé un programme d’acquisition de 10 nouveaux avions de formation. Il s’agit de 8 monomoteurs Diamond 40 et 2 bimoteurs Diamond 42. Prix unitaire 300.000 euros (l’équivalent de 3,5 millions de DH) pour les monomoteurs et 580.000 euros (6,8 millions de DH environ) pour les bimoteurs. Toutefois l’école n’en a reçu que trois exemplaires, le reste devant suivre courant 2008. Probablement à la fin des travaux de construction et d’aménagement du campus de l’école prévu au mois de mai. Ces avions viennent renforcer une flotte forte de 7 aéronefs.

Avions de nouvelle génération, ces nouvelles acquisitions respectent les normes environnementales avec l’instauration de standard «glass cockpit». Contrairement aux anciens les nouveaux «coucous» sont dotés d’un système GPS Garmin 1000, d’une cellule composite et d’un moteur diesel ou jet A1. La qualité de ces moteurs réside dans leur faible consommation. Contrairement à l’ancienne mouture, les commandes sont gérées par ordinateur grâce aux écrans tactiles dont ils sont dotés. À titre d’exemple, le bimoteur D42 à une autonomie de vol de 7 à 8 heures, il consomme environ 40 litres par heure de vol. L’altitude maximum qu’il peut atteindre ne dépasse pas les 4.000 mètres. La durée de vie du moteur peut atteindre les 2.000 heures de vol, au bout de cette distance, une visite «cellule» s’impose. En substance, les dépenses pour un vol se chiffre à 150 euros par heure.

Pour rappel, l’école qui appartient à la RAM Academy filiale de la compagnie aérienne marocaine, vient de se voir décerner l’agrément européen part 147. Ce label atteste de la conformité de l’école aux exigences européennes en matière de formation aux métiers de la maintenance aéronautique. Il permettra ainsi à l’école d’exporter son savoir-faire à l’étranger. «L’école a vocation de rivaliser avec les plus grandes institutions de formation de pilotes à travers le monde», fait observer Driss Benhima, président-directeur général de la RAM - Maroc lors de la cérémonie de présentation des 3 modèles reçus, le 12 décembre dernier, dans le nouvel aéroport de Benslimane.

Source : leconomiste



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vendredi 7 décembre 2007

Où vont les stocks de blé?

La décision de subventionner les farines libres jusqu’au 31 décembre a-t-elle été prorogée? A en croire le dernier avis d’appel d’offres portant sur l’achat de 314.100 tonnes de blé tendre, on serait tenté de répondre par l’affirmative. D’autant plus que les livraisons sont attendues pour le 20 janvier 2008 et que d’autres options d’achat seraient aussi en préparation. D’où l’effet de surprise manifestée parmi les importateurs de céréales au Maroc. Surtout qu’ils avaient obtenu toutes les assurances quant à la révision imminente du système actuel.

Ceci, juste au lendemain de la nomination du nouveau ministre de l’Agriculture, à qui des propositions ont été communiquées. «Effectivement, nous avons anticipé l’approvisionnement du pays», reconnaît Abdellatif Guedira, directeur général de l’Office interprofessionnel des céréales et légumineuses (Onicl). «Mais la concertation avec la profession est en cours pour régulariser la situation au niveau règlementaire», est-il précisé. Pour rappel, le système instauré le 27 septembre dernier, par arrêté ministériel, visait la subvention à l’achat par les minoteries industrielles du blé tendre destiné à la fabrication des farines libres. Le prix de cession aux minotiers a été fixé à 250 DH/ql rendu minoterie. Et la différence entre ce prix et les coûts de revient serait restituée aux négociants en céréales après coup. A en juger d’après les résultats des acquisitions du mois d’octobre, le montant est en moyenne de 120 DH/ql. C’est dire l’importance de l’enveloppe consentie. Mais aussi l’ampleur des arriérés non encore réglés aux importateurs.

Ils cumulent à quelque 2 milliards de DH, selon la profession. Plus grave encore, la moitié du volume des importations effectuées depuis le démarrage de l’opération encombre toujours les aires de stockage chez les négociants. «Serait-on alors en train de constituer des stocks de sécurité aux frais des importateurs?», ironise un professionnel. Et l’option n’est pas totalement écartée. «L’objectif dans l’immédiat, est de constituer un stock de soudure», avoue le directeur général de l’Onicl. «Car l’office a l’obligation de veiller à l’approvisionnement du pays sans pour autant sortir sur le marché. Et les importateurs ont même la latitude de fournir les minoteries sur le disponible ou recourir au marché extérieur, à l’occasion de chaque avis d’appel d’offres.» Mais dans quelles conditions de prix et de flexibilité de l’approvisionnement? Dès lors qu’on annonce l’achat de grosses quantités. Surtout que le système a été mis en place dans la tourmente de la flambée des cours mondiaux, en consacrant un retour en arrière. Avec, à la clé, des mécanismes de prix et de marché gérés par l’Administration en lieu et place d’un négoce libre, mais régulé par l’Etat.

«Du coup, les signaux du marché mondial ne sont pas retransmis sur les prix locaux, en ce sens que les agriculteurs sont en droit de bénéficier de la hausse des cours à l’international, et de le savoir dès la veille de la campagne des semis», dénonce Ahmed Ouayach, président de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (Comader). C’est le minimum qu’il faut espérer dans l’attente d’une refonte en profondeur de la filière céréalière que le patronat agricole croit savoir en cours de préparation. Mais ce qui est déplorable, relève le chef de file des agriculteurs, c’est que le travail se fait sans y associer les professionnels.

A qui profite le système?

A contrario, une baisse des prix mondiaux n’impacte pas les cours des blés offerts localement et des farines qui en proviennent. «Il faut attendre un hypothétique appel d’offres dans une conjoncture favorable pour prétendre à une plus-value», fait remarquer un importateur. En un mot, le système ne profite ni aux négociants, ni aux minotiers et encore moins aux caisses de l’Etat. Car, dans la pratique, il n’existe qu’un seul client, l’Onicl, à qui toutes les offres sont adressées. Et son analyse de la demande est, par la force des choses, purement théorique. Elle peut conduire à une offre pléthorique qui pénalise les négociants. Et c’est le cas actuellement avec des stocks importants, non enlevés et, en conséquence, non rémunérés. Les estimations de l’Onicl tablent sur 8 millions de quintaux dont plus de la moitié est issue des importations. Tout comme elle peut exacerber le risque de déficit de l’offre.

En cause, la lenteur du circuit des appels d’offres dans un marché souvent tendu par les temps qui courent. Et au-delà, les importations par ce circuit n’autorisent que l’achat des blés les moins chers et donc les qualités bas de gamme. In fine, les relations interprofessionnelles «deviennent contraintes sous forme d’agréages des marchandises et d’apposition de cachets pour des bons de livraison», dénonce cet importateur.

Source : Leconomiste


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Le recyclage électronique fait son chemin au Maroc

Hewlett Packard (HP) a annoncé le lancement au Maroc de la première étape d’un projet panafricain afin de développer les compétences en matière de recyclage électronique pour réagir aux problèmes croissants des déchets. Le Programme des Nations unies pour l’environnement estime que 50 millions de tonnes de déchets électroniques sont générés chaque année.

Le lancement par HP le 18 septembre à Londres du « Programme gestion des déchets électroniques en Afrique », en collaboration avec le Fonds mondial de solidarité numérique (FSN) et l’Institut suisse de recherche sur les matériaux et les Technologies (Empa), a pour but de faire face au problème grandissant des Déchets électriques et électroniques (DEEE) sur le continent africain. Ce partenariat vise d’une part à minimiser l’impact sur la santé et l’environnement, résultant d’une mauvaise gestion de ces déchets, et d’autre part à évaluer le potentiel de création d’emploi dans les couches les moins favorisées de la société.

Comme l’utilisation des technologies de l’information ne cesse d’augmenter, il en va de même pour la quantité de DEEE générée. Alors que l’utilisation d’équipements électroniques est inoffensive en soi, la présence de substances telles que le mercure ou le plomb peuvent poser problème si l’appareil n’est pas proprement recyclé. Néanmoins, les appareils électroniques contiennent également des matériaux de valeurs tels que l’or ou le cuivre, ce qui motive les chiffonniers à récupérer les appareils hors d’usage et à les recycler dans une économie informelle.

Ce programme sera mis en œuvre dans divers pays africains, dont le Maroc. Les objectifs du projet au Maroc sont, dans un premier temps, d’établir le diagnostic de la situation liée au DEEE dans le pays, et de proposer ensuite un plan d’action pour établir une filière opérant dans les règles de l’art.

Le projet sera mené par le Centre marocain de production propre (CMPP) à Casablanca. Lors d’une première visite de représentants de l’Empa et du FSN, un comité national stratégique pour les DEEE a été mis sur pied par le CMPP le vendredi 5 octobre 2007 lors du séminaire de lancement du projet. Ce comité, composé de divers acteurs, aura pour but de coordonner les activités liées aux DEEE au Maroc. Le CMPP soumettra les conclusions du diagnostic, ainsi que le plan d’action proposé à ce même comité à la fin février 2008.“A l’instar de ce qui s’est passé dans d’autres filières, le CMPP s’engage à accompagner le projet sachant que l’industrie numérique dans notre pays est en pleine expansion,” confie Saïd Mouline, président du CMPP.

“Prendre ces mesures environnementales dès le début s’inscrit tout à fait dans notre approche préconisée dans le volet environnement de la charte sociale de la CGEM.”“Cette action est en parfaite ligne avec la stratégie de Hewlett-Packard dans le monde et au Maroc, “ explique Fouad Jellal, directeur général, Afrique du Nord (Maroc-Tunisie-Libye), Afrique francophone Ouest & Centrale et les Dom-Tom (Départements d’outre-mer et Territoires d’outre-mer - France). “Cette stratégie est de participer activement à la préservation de l’environnement par une meilleure gestion des déchets électroniques, surtout prenant en compte le développement important des TIC au Maroc dans les prochaines années. Le moment est parfait pour le lancement d’une telle initiative au Maroc.”

Source : Liberation



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Ouverture de la 7-ème édition du Festival International du Film de Marrakech

Marrakech, 07/12/07- La 7-ème édition du Festival International du Film de Marrakech (FIFM) au Maroc, organisée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, s'est ouverte vendredi au Palais des Congrès de la ville ocre.

Au début de la cérémonie d'ouverture de cette manifestation, à laquelle ont pris part le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, M. Khalid Naciri, et la ministre de la Culture, Mme Touria Jabrane, ainsi qu'une pléiade de grands noms du cinéma et des arts nationaux et internationaux, une minute de silence a été observée à la mémoire du journaliste et comédien Abderrahim Bargach, décédé mercredi à Casablanca à la suite d'une longue maladie.

Par la suite, un hommage appuyé à été rendu au réalisateur marocain Mustapha Derkaoui et à la star hollywoodienne Leonardo Di Caprio.

"Derkaoui avait une passion dévorante pour le cinéma et peut être considéré comme l'un des pionniers du cinéma au Maroc'', dira à cette occasion le réalisateur Abdelkader Lagtaâ, qui l'avait côtoyé sur les bancs de l'Ecole supérieure de cinéma et de théâtre de Lodz (Pologne).

Réalisateur chevronné, "Derkaoui n'hésitait pas à se remettre en danger en questionnant sa pratique cinématographique", devait poursuivre Lagtaâ, soulignant la "générosité" de ce cinéaste qui a beaucoup donné au 7-ème art marocain.

Même affaibli par la maladie, Derkaoui a tenu à faire acte de présence pour recevoir cette distinction, qui lui a été remise par ses deux enfants Jade et Kenza.

Trois films du réalisateur Mustapha Derkaoui seront projetés dans le cadre de ce festival, "Les beaux jours de Schéhérazade'' (1980), "Titre provisoire'' (1984), et "Casablanca By Night'' (2003).

C'est au grand réalisateur Martin Scorsese qu'est revenu l'honneur de présenter la grande star du cinéma américain Leonardo Di Caprio.

"C'est un acteur particulier qui choisit les rôles qui le défient", dira à son égard Scorsese, soulignant les qualités de ce comédien "acharné et aventurier'' tout juste âgé de 33 ans. Très ému par cet hommage, Di Caprio a exprimé sa profonde gratitude à SM le Roi Mohammed VI ainsi que ses remerciements à SAR le Prince Moulay Rachid, président de la Fondation du Festival International du Film (FIFM).

Il a également souligné l'hospitalité légendaire du Maroc, pays de culture, de tradition et d'histoire.

"J'ai toujours voulu être acteur de cinéma", a-t-il encore dit estimant que le 7ème Art, art d'évasion, est une des plus hautes formes de l'art moderne.

Lors du Festival seront projetés trois films où Di Caprio a tenu le rôle principal "Roméo et Juliette" (1996), "Titanic'' (1997), "Arrête moi si tu peux" (2003), "Aviator" (2005) et "11 heure" (2008).

Quatorze longs-métrages sont en compétition pour le Grand prix "Etoile d'or", le Prix du jury et ceux des meilleures interprétations masculine et féminine de cette 7-ème édition du FIFM dont la tombée de rideau est programmée pour le 17 courant.

Pour cette année, le réalisateur d'origine tchèque Milos Forman présidera le jury, composé de Hamid Bennani (réalisateur, scénariste et producteur- Maroc), John Hurt (comédien- Grande Bretagne), Shekhar Kapur (réalisateur et comédien - Inde), Pavel Lounguine (réalisateur, scénariste et producteur - Russie), Aissa Maiga (comédienne - France), Claude Miller (réalisateur et scénariste - France), Parker Posey (comédienne - USA) et Aitana Sanchez Gijon (comédienne - Espagne).

Source : MAP


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La presse francophone apporte sa contribution au processus de réconciliation en Côte d'Ivoire

-(DNES: Mohamed Touzani)-. Yamoussoukro (Côte d'Ivoire), 07/11/07- L'Union internationale de la presse francophone (UPF), en décidant d'organiser ses 39èmes assises en Côte d'Ivoire, a voulu apporter sa contribution au processus de réconciliation engagé dans ce pays depuis la signature de l'accord de Ouagadougou en mars dernier.

Grâce à ces assises, la Côte d'Ivoire a fait un retour remarqué sur la scène internationale. D'ailleurs, le sens de ce geste de l'UPF n'a pas échappé au président ivoirien, Laurent Gbagbo qui a tenu à présider en personne l'ouverture de la rencontre.

"Ce grand rassemblement de 200 journalistes venus de 152 pays est un soutien au processus de sortie de crise et de paix en Côte d'Ivoire", admet-il.

"C'est une volonté aussi pour tous ces professionnelles de la communication, de constater, par eux-mêmes, sur le terrain, ce qui se passe en Côte d'Ivoire", a-t-il ajouté.
Les hautes autorités ivoiriennes, n'espérant pas mieux, ont mis les petits plats dans les grands pour réussir ce grand rassemblement des journalistes francophones.

En plus du chef de l'Etat, le Premier ministre Guillaume Soro a salué cette volonté des journalistes de soutenir son pays dans l'oeuvre de restauration de la paix, après cinq années de conflit et de divisions.

"L'ensemble des Ivoiriennes et des Ivoiriens voient dans la tenue de ce forum l'expression de la confiance retrouvée et de la sympathie de la communauté des journalistes", a-t-il affirmé.
M. Soro a tenu à faire visiter aux journalistes la ville de Bouaké, le fief des Forces Nouvelles (FN-ex rébellion) qu'il préside, une façon de leur montrer que le processus de réunification était en marche.

Sur place, les journalistes ont constaté que les "audiences foraines" se poursuivent pour l'identification des personnes devant s'inscrire sur les listes électorales pour les législatives et présidentielles prévues en 2008, conformément aux accords de Ouagadougou conclus sous l'égide du facilitateur du dialogue inter-ivoirien, le président burkinabé Blaise Compaoré.

Sur la route de Bouaké, les journalistes ont constaté de visu le démantèlement de la zone de confiance, qui séparait les zones sous l'autorité gouvernementale et celles au nord sous le contrôle des rebelles, ainsi que la mise en place de patrouilles mixtes.

La nomination de Guillaume Soro, chef des rebelles, au poste de Premier ministre est en soi une percée majeure, dans la mesure où ce sont ces mêmes rebelles qui ont voulu renverser le président Gbagbo en 2002, .

Certes, la désarmement et la démobilisation des milices ne sont pas encore effectifs, mais la volonté des Ivoiriens d'en finir avec cette guerre dévastatrice est perceptible dans tous les villages et villes.

C'est Yamoussoukro, la ville natale du défunt président Phélix Houphouet Boigny située à 220 km au nord d'Abidjan, qui a le plus bénéficié de cette paix en passe d'être retrouvée, et s'apprête à devenir la capitale administrative de la Côte d'Ivoire. Sur place, les Chinois achèvent la construction d'un gigantesque "palais de parlementaires".

Du côté de l'UPF, on ne cache pas cette volonté de soigner l'image de la Côte d'Ivoire à l'étranger et de l'accompagner dans la consolidation de la paix et de la réconciliation.

"S'il est vrai que des pas significatifs ont été faits sur le chemin du retour à la paix en Côte d'ivoire, il est tout aussi vrai que l'image d'un pays en guerre ou en crise demeure encore, malheureusement, dans l'esprit de milliers de personnes dans le monde", indique le nouveau président de l'UPF, Alfred Dan Moussa.

Et donc, ajoute-t-il, ce sont les médias qui "peuvent aider réellement les Ivoiriens et leurs gouvernants à retourner l'opinion en leur faveur".

A l'heure du bilan, les autorités ivoiriennes ne devraient pas regretter le fait de s'être beaucoup investies pour le succès de ces assises.

Les journalistes, venus de Jordanie, de Roumanie ou du Vietnam, partiront sûrement avec une autre idée de la Côte d'Ivoire, différente de celle qu'ils avaient au moment de leur arrivée à Abidjan, il y a une semaine.

Source : MAP



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Deux groupements d'opérateurs portuaires leaders en concurrence pour la concession du terminal 3 du port Tanger-Med II

Tanger, 07/12/07- Deux groupements d'opérateurs portuaires leaders au niveau international sont en concurrence pour remporter la concession du terminal à conteneurs 3 du port Tanger-Med II, Maroc, apprend-on auprès de l'Agence spéciale Tanger-Méditerranée (TMSA).

Le complexe portuaire Tanger-Med, regroupant le port Tanger-Med I et le futur port Tanger-Med II, comprend quatre terminaux à conteneurs, dont deux situés dans le premier bassin portuaire, ont déjà été concédés.

La mise en concession des terminaux 3 et 4, s'inscrivant dans le cadre du projet Tanger-Med II, a été amorcée le 8 mai dernier, à travers un appel à expression d'intérêt ayant conduit à la pré-qualification de compagnies maritimes et opérateurs portuaires de rang mondial, puis au lancement de deux appels d'offres restreints, précise-t-on auprès de l'Agence.

A l'issue de l'appel d'offres restreint, lancé le 31 juillet dernier, TMSA a reçu, le 30 novembre, les offres portant sur la concession du terminal à conteneurs 3.

Deux offres recevables au regard du règlement de l'appel d'offres ont été enregistrées. Il s'agit de l'offre du groupement formé par CMA CGM (France) et MSC (Suisse), et celle du groupement formé par Maersk A/S (Danemark), APM Terminals B.V. (Pays-Bas), et Akwa Group S.A.(Maroc).

TMSA entamera prochainement des négociations parallèles avec ces deux soumissionnaires en vue de désigner l'attributaire de la concession, au cours du second trimestre 2008, indique la même source.

Implanté dans l'enceinte du futur port Tanger-Med II, le terminal à conteneurs 3 présentera un linéaire de quais de 1.600 m à un tirant d'eau de -16 m. Ce terminal disposera d'une capacité de trafic d'environ 3 millions de conteneurs EVP, essentiellement dédiée à un armateur ou à un groupement d'armateurs de premier plan, spécialisés dans le transport maritime mondial de conteneurs.

Concernant la mise en concession du terminal à conteneurs 4, réservé aux opérateurs portuaires et présentant un linéaire de quais de 1.200 m à un tirant d'eau de -16 m, les offres sont attendues le 30 janvier prochain, indique l'Agence.

Il convient aussi de souligner que le contrat de conception et de construction de Tanger-Med II sera attribué durant le second trimestre 2008, à l'issue d'un processus d'appel d'offres international entamé depuis le mois d'octobre dernier.

Le projet Tanger-Med I, lancé en 2003, est déjà entré partiellement en activité, avec la mise en service du terminal à conteneurs 1 en juillet dernier. L'entrée en activité du terminal 2 est prévue pour l'été 2008.

Tanger-Med I et II offriront ensemble une capacité de plus de 8 millions de conteneurs EVP, plaçant ainsi ce complexe portuaire parmi les grandes plate-formes de transbordement de conteneurs dans le monde.

Source : MAP


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M. Abbas El Fassi représente SM le Roi au 2è Sommet Afrique-UE à Lisbonne

Lisbonne, 07/12/07-Le Premier ministre, M. Abbas El Fassi, est arrivé, vendredi dans la soirée, à Lisbonne où il représentera SM le Roi Mohammed VI au 2ème Sommet Afrique-Union Européenne qui débutera samedi.

M. El Fassi conduit une délégation composée de Mme Latifa Akharbach, Secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et à la coopération, de M. Samer Aarour, ambassadeur du Maroc à Lisbonne, et de proches collaborateurs du Premier ministre.

M. El Fassi et la délégation l'accompagnant ont pris part, vendredi soir, à une réception donnée par le Premier ministre portugais, José Socrates, dont le pays assure la présidence tournante de l'Union européenne.

Plusieurs délégations de pays participants sont arrivées vendredi à Lisbonne pour prendre part à ce sommet qui verra la participation de plus de 71 chefs d'Etat et de gouvernement des pays des deux continents.

Source : MAP



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